Le réchauffement climatique n’existe pas car les températures hivernales sont négatives dans la plupart des régions du globe. S’il y avait un réchauffement climatique, la glace et la neige fondraient plus vite. De nombreuses régions tropicales et équatoriales ne connaissent pas d’augmentation rapide des températures, et certaines parties se refroidissent même.

Depuis le milieu des années 1970, les températures mondiales se sont réchauffées d’environ 0,2 degré Celsius par décennie. Toutefois, les conditions météorologiques imposent leurs propres hauts et bas spectaculaires sur la tendance à long terme. Nous nous attendons à voir des températures froides record même pendant le réchauffement de la planète. Néanmoins, au cours de la dernière décennie, les records quotidiens de températures élevées ont été enregistrés deux fois plus souvent que les records de températures basses. Cette tendance à des journées plus chaudes devrait s’accentuer à mesure que le réchauffement climatique se poursuit au XXIe siècle.

Les phénomènes météorologiques extrêmes ne sont pas dus au réchauffement de la planète, mais à la situation géographique des régions – ils sont parfaitement naturels.

Le réchauffement climatique amplifie les facteurs de risque des phénomènes météorologiques extrêmes. Cela est dû aux mécanismes et processus naturels qui régulent le climat. Cela est confirmé par des observations montrant une forte corrélation entre la hausse des températures et l’augmentation de la fréquence de ces événements.

Le temps est parfois plus chaud, parfois plus froid. Cela a toujours été le cas.

Les fluctuations climatiques existaient déjà avant que l’homme ne commence à émettre de grandes quantités de CO2. Mais la forte hausse de la courbe des températures depuis les années 1980 ne peut s’expliquer que par l’être humain.

Le réchauffement climatique ne peut pas avoir lieu, puisque les hivers sont de plus en plus froids.

Les hivers se sont réchauffés. Les mesures montrent que le climat de la Terre s’est globalement réchauffé au cours du siècle dernier, en toutes saisons et dans la plupart des régions.

Le réchauffement climatique ne peut pas avoir lieu, puisqu’il pleut beaucoup plus.

Des recherches récentes menées par l’université de Hull sur les schémas météorologiques de la Libye au cours des 10 000 dernières années ont révélé que les précipitations augmentent parallèlement à une hausse de la température annuelle moyenne.

Les relevés des températures mondiales ne sont pas fiables. Par exemple, le climatosceptique Anthony Watts pense que les stations où les températures sont mesurées sont trop proches des zones urbaines où la chaleur est absorbée, ce qui fausse les relevés. Il semble donc que la Terre se réchauffe, même si ce n’est pas le cas.

La tendance au réchauffement est la même dans les zones rurales et urbaines, mesurée par des thermomètres et des satellites, et par des thermomètres naturels.

Comment allons-nous prédire le climat ? Nous ne savons même pas quel temps il fera dans deux semaines.

Le climat n’est pas la même chose que la météo. La météo est une condition à court terme. Il s’agit de ce que nous vivons à un moment donné dans un lieu donné. Il peut s’agir de pluie, de neige ou de soleil. La météo peut changer rapidement. Le climat, quant à lui, est une condition à long terme. Il s’agit de la configuration météorologique typique d’un lieu donné, mesurée sur une période d’au moins 30 ans. Il existe différents climats dans le monde – c’est pourquoi nous distinguons différentes zones climatiques.

Les prévisions climatiques ne sont pas fiables.

Les modèles numériques du système terrestre basés sur les lois de la physique sont les outils les plus réalistes dont nous disposons pour étudier le climat, analyser les causes des changements climatiques observés et estimer les scénarios climatiques futurs possibles ; ces modèles sont de plus en plus fiables grâce à l’augmentation du réseau d’observations utilisé pour valider leur qualité, à l’amélioration de notre connaissance des phénomènes qui affectent le climat et à la disponibilité de ressources de calcul performantes.

Le changement climatique est une théorie de la conspiration, créée par le gouvernement mondial secret pour contrôler le monde.

Un pourcentage écrasant de climatologues s’accorde à dire que l’activité humaine est à l’origine d’un changement du climat mondial qui aura des conséquences délétères tant pour l’environnement que pour l’humanité. (…) Les enquêtes d’opinion soutiennent l’idée que le déni du changement climatique est motivé, au moins en partie, par une pensée conspirationniste sous-jacente. La croyance dans les théories de conspiration sur le changement climatique semble également influencer les comportements de manière cohérente avec les comportements des personnes qui pensent en termes de conspiration : Les théoriciens de la conspiration sur le changement climatique sont moins susceptibles de participer à la vie politique ou de prendre des mesures qui pourraient réduire leur empreinte carbone. En outre, certains climato-sceptiques rejettent les études montrant que leur scepticisme est en partie le produit de la pensée complotiste : Ils pensent que ces études font elles-mêmes partie de la conspiration.

Les intérêts des entreprises favorisent l’idée du changement climatique.

L’enquête sur les origines du financement de ceux qui contestent les données sur le changement climatique a mis en lumière d’autres faits intéressants. Par exemple, la relation très étroite – d’une valeur de 2,3 milliards de dollars – que la plus grande compagnie pétrolière et gazière du monde, ExxonMobile, entretient avec les membres du Congrès américain qui s’opposent aux politiques de lutte contre le changement climatique. Ou encore le financement de la recherche visant à dissocier le changement climatique des activités humaines, à hauteur de 1,2 milliard de dollars, par les compagnies pétrolières, gazières et charbonnières.