Avec 2 degrés de plus, rien de significatif ne se produira, il fera juste un peu plus chaud.

Les conséquences seront tragiques. Aujourd’hui, avec « seulement » 1 degré de plus, chaque jour, une énorme partie de la calotte glaciaire fond. (des centaines de milliards de tonnes chaque année).

La glace s’étend dans une grande partie de l’Antarctique, contrairement à l’idée répandue dans le public selon laquelle le réchauffement climatique fait fondre la calotte glaciaire continentale.

La glace de mer de l’Antarctique gagne du terrain, mais l’Antarctique perd de la glace terrestre à un rythme accéléré, ce qui a des répercussions sur l’élévation du niveau de la mer.

Même si toute la glace de la Terre fondait, le niveau des océans ne s’élèverait pas. La fonte des glaces ne fait pas monter le niveau des eaux.

La fonte des glaces flottantes ne modifie pas le niveau des eaux de manière significative. En revanche, la disparition des glaciers et des couches de glace reposant sur la terre ferme ou sur le fond de la mer le fait. L’eau qui s’en écoule fait monter le niveau des océans. La fonte de toutes les calottes glaciaires terrestres, notamment en Antarctique et au Groenland, pourrait faire monter le niveau moyen des océans d’environ 70 mètres.

L’acidification des océans n’est pas un problème. L’augmentation des émissions de dioxyde de carbone n’a aucun impact sur les océans.

L’acidification des océans (le jumeau diabolique du réchauffement climatique) a augmenté de 30 % depuis le début du XXe siècle. Si nous brûlions tous les combustibles fossiles et transférions ainsi le carbone qu’ils renferment dans l’atmosphère, puis dans les océans, nous multiplierions par cinq l’acidité de ces derniers, qui atteindrait des niveaux jamais vus depuis 300 millions d’années. Cela entraînerait la destruction des récifs coralliens et du phytoplancton, qui constituent la base de la chaîne alimentaire des océans.

Les incendies sauvages comme ceux de l’Australie en 2020 ont été causés par des incendies criminels et non par des facteurs environnementaux et des températures élevées.

Plusieurs rapports récents ont révélé que le changement climatique contribue aux conditions chaudes et sèches qui alimentent le type d’incendies qui feront rage sur la côte est de l’Australie en 2020. Le fait est que les conditions chaudes et sèches permettent aux feux de brousse de s’intensifier, quelle que soit leur origine. Le changement climatique ne provoque pas ces incendies, mais il peut exacerber les conditions chaudes et sèches qui rendent les feux de brousse plus susceptibles de se développer et de croître.

Le changement climatique n’est pas si grave, la vie trouvera une solution. Les animaux et les plantes peuvent s’adapter. Les arbres, les oiseaux, les mammifères et les papillons s’adaptent bien à la réalité quotidienne du changement climatique.

Le fait est que le rythme du changement climatique exerce un stress écologique énorme sur nos environnements. Le problème est qu’aujourd’hui, l’être humain ayant urbanisé une grande partie de l’environnement, les plantes, les insectes, les petits mammifères et les poissons ne savent pas où aller. Les plantes et les animaux meurent actuellement à un rythme 100 à 1000 fois plus rapide que le taux moyen d’extinction sur les échelles de temps géologiques.

Les ours polaires sont de plus en plus nombreux, ce qui prouve que la menace du changement climatique est exagérée. Le changement climatique est-il vraiment si grave ?

Les scientifiques affirment qu’il n’existe pas suffisamment de données pour démontrer une tendance à la hausse du nombre d’ours polaires. De nombreuses études ont montré l’impact du changement climatique et du rétrécissement de la banquise sur les ours polaires et la menace que cela représente pour leur habitat. La fonte de la glace de mer dont dépendent les ours polaires pour attraper les phoques dont ils se nourrissent est documentée dans des sources telles que le dernier rapport des Nations unies sur le changement climatique.

Le réchauffement du climat aide réellement les pauvres. Cela signifie moins de décès dus au froid, des régions plus habitables, des récoltes plus importantes, une saison de croissance plus longue. C’est une bonne chose.

Même si l’on pouvait être un tant soit peu d’accord avec une telle affirmation, les effets négatifs du réchauffement climatique sur l’agriculture, la santé et l’environnement l’emportent largement sur les effets positifs. Il existe une longue liste de relations de cause à effet, montrant que la plupart des impacts du changement climatique n’apporteront que peu ou pas d’avantages, mais peuvent causer de grands dommages à un coût considérable.

Pour arrêter le réchauffement de la planète, il suffit de planter plus d’arbres. Les plantes aiment le dioxyde de carbone. Et un climat chaud accélère la croissance des plantes. Les arbres refroidiront le climat en séquestrant le dioxyde de carbone et en stockant l’humidité.

La protection des forêts et le boisement ne compenseront pas l’augmentation des émissions de carbone. En outre, les arbres plantés aujourd’hui pourraient, dans quelques décennies, faire partie d’une zone climatique plus chaude à laquelle ils ne sont peut-être pas adaptés. Le carbone stocké dans les forêts retournera dans l’atmosphère à la suite d’incendies ou d’invasions de parasites.